Sept semaines après le lancement, plutôt réussi, de la GeForce GTX 680, Nvidia annonce le lancement officiel de sa petite soeur, la GeForce GTX 670.
Cette carte est techniquement très proche de la GTX 680 car elle est également basée sur le GPU GK104 gravé en 28nm par TSMC. La GTX 670 embarque légèrement moins d’unités de calcul (1344 contre 1536), d’unités de texturing (112 contre 128) et disposent de fréquences de fonctionnement très légèrement inférieures.
Au niveau du design, la GeForce GTX 670 ne mesure que 24cm de long, le PCB ne fait même que 17,2 cm. Le TDP est de 170W ce qui permet à Nvidia d’utiliser un refroidissement relativement simple qui prend la forme d’un radiateur en aluminium/cuivre pour la carte de référence. Malheureusement, la finition globale est assez moyenne pour une carte aussi haut de gamme vendue 400 euros. La connectique est la même que celle de la GeForce GTX 680 : deux connecteurs DVI Dual Link, un connecteur HDMI 1.4a 3GHz et un connecteur DisplayPort 1.2.
Nos confrères de la presse informatique ont réalisé des tests complets de cette nouvelle carte graphique. Ses performances sont d’environ 4% supérieures à celles de la Radeon HD 7950 et inférieures d’environ 9% par rapport à la GTX 680.
Compte tenu de son prix de vente de 400 euros contre 500 euros pour la GTX 680, cette GTX 670 se place plutôt bien en terme de rapport performances/prix. D’autant que la faible consommation de ce GPU permet un potentiel en overclocking assez important.
Citation : Après une GeForce GTX 690 d’exception, Nvidia entame la déclinaison vers le bas de son architecture Kepler. La GeForce GTX 670 fait ainsi son apparition avec un look étrange, une consommation revue à la baisse mais des performances très proches de celles de sa grande sœur, la GeForce GTX 680. De quoi battre un nouveau record en terme de rendement énergétique ?
La GeForce GTX 670 repose, tout comme son aînée, sur le GPU GK104 composé de pas moins de 3.5 milliards de transistors fabriqués sur le procédé de fabrication 28 nanomètres de TSMC. Avec celui-ci, Nvidia a fait le choix de délaisser quelque peu les performances en GPU Computing pour privilégier les performances en jeu. De quoi permettre à ce jeu d’attaquer les Radeon HD 7900 et leur GPU, Tahiti, composé de 4.3 milliards de transistors.
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